Divertissement

les confidences de James Cameron au Figaro

James Cameron, jeudi, à la Cinémathèque.
SÉBASTIEN SORIANO/Le Figaro

ENTRETIEN – La Cinémathèque française rend hommage au cinéaste canadien à travers une rétrospective et une vaste exposition.

La mère de James Cameron fut sa première collectionneuse. Elle a conservé tous ses dessins d’enfance. Il a jeté plus qu’il n’a conservé les croquis, les grandes lignes et les storyboards qui précèdent et accompagnent son travail de cinéaste. Heureusement, il en a archivé. Sur les 300 pièces rassemblées à la Cinémathèque française, 250 sont de lui. Ils forment la matrice de Terminateur, Extraterrestres, Titanesque Ou Avatar. Rencontre avec un artiste visionnaire de 69 ans dont les rêves et les cauchemars hantent le cinéma.

LE FIGARO. – Vous parlez de l’exposition comme d’une autobiographie. Pourriez-vous raconter votre jeunesse et la naissance de votre vocation dans un film, comme Spielberg avec Les Fabelman ?

JAMES CAMERON. –Non, je ne ferai jamais de film sur mon histoire personnelle. Ce serait trop ennuyeux. Je préfère inspirer des vocations à travers mes dessins. J’ai l’impression qu’il y a une crise de confiance chez les jeunes artistes. Ils se sentent dépassés par un bombardement d’images et de médias. Ils…

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Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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