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« Ça m’a étonné » : Disparition du petit Emile, un habitant pointe une erreur des gendarmes


Par Louise Martin | Éditeur

Koh Lanta, Les Marseillais mais aussi Mariés aux premiers regards… Louise Martin est une télévore qui tente, à ses heures perdues, de refaire les gâteaux qu’elle admire devant le Meilleur Pâtissier… mais elle ne risque pas de gagner. le tablier bleu ! Les réseaux sociaux n’ont plus de secret pour elle, les derniers scoops, les dernières émissions, elle les connaît tous. Elle scrute la vie de vos stars préférées et admire un peu trop les tenues de Nicky Doll dans Drag Race France. Petit plaisir du cou

Alors que les recherches près du Vernet sont officiellement terminées, l’un des habitants de la commune où Emile a été vu vivant pour la dernière fois il y a neuf mois a signalé à la police une erreur des gendarmes dans cette affaire. Parisien.

« Ça m’a surpris » : Disparition du petit Emile, un habitant pointe une erreur des gendarmes

Le reste après l’annonce

L’enquête sur la disparition d’Emile a pris un tournant important le samedi 30 mars 2024. Ce jour-là, un promeneur a découvert un crâne et des dents à proximité de l’endroit où le petit garçon a été vu vivant pour la dernière fois. fois. Les analyses ADN ont ensuite confirmé qu’il s’agissait bien des ossements de l’enfant. Les enquêteurs ont donc mis en place «recherche approfondie » dans la zone où la dépouille d’Emile a été retrouvée. Quelques jours plus tard, les vêtements du petit Emile ont été découverts, ainsi que d’autres ossements lui appartenant. Si les fouilles ont été officiellement arrêtées, les enquêteurs ignorent toujours les causes du décès du garçon. Interrogé par le parisien, un habitant de Vernet semble persuadé de savoir comment Emile a perdu la vie. « Le petit a dû être victime d’un animal. Je ne vois que le loup. C’est animé ici. Les éleveurs ne sont pas en paix, ils font manger les moutons, il y a des patous partout pour protéger les troupeaux. On dit que le loup a peur de l’homme, mais quand c’est un chevreau grand comme trois pommes, il doit le voir comme n’importe quelle autre proie.« , a-t-il déclaré.

« Si la chasse n’a rien donné, cela ne m’étonne pas. C’est très en pente, glissant. Vous pouvez vous casser le cou. Du coup, il y a tout de suite moins de volontaires pour s’y rendre. Il faut avoir le pied de montagne, on se fait gratter par les buissons. Dans ces conditions, on ne regarde pas forcément dans toutes les directions. Ce n’est pas une science exacte. (…) Ce qui est surprenant, c’est que les chiens n’ont rien senti, ceux des policiers ou ceux des chasseurs à l’automne. Nous sommes dans un ravin avec un ruisseau au fond. En plein été, on a vite soif. Emile a pu se diriger vers ce ruisseau. Que s’est-il passé, pourquoi ne l’avons-nous pas entendu crier, pleurer ?« , a alors demandé cet homme, avant de pointer du doigt une erreur commise par les gendarmes lors de leur enquête. « Ce qui m’inquiète, c’est que personne n’a croisé le petit. Pour l’enquête, j’ai été interrogé à trois reprises, la maison a été fouillée, les ordinateurs ont été confisqués, mais pas mon téléphone portable. Ça m’a étonné. Cela montre que la police peut commettre des erreurs.« , a-t-il souligné.

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Outre cet habitant du Vernet, Le Parisien » a également interrogé le promeneur qui a découvert les ossements d’Emile. « Je vois ce petit crâne blanc. Malgré sa taille, je réalise immédiatement que ce n’est pas un animal. Je pense à Émile. C’est très dur, très triste. Oui, j’ai pleuré. Si je l’avais laissé là, que se serait-il passé au moment où j’ai dû avertir la police ? Il est temps de faire demi-tour, de les appeler, de les laisser venir… Quelqu’un d’autre aurait pu l’emmener. Ou bien l’eau qui coulait, avec la pluie, aurait pu l’emporter. J’ai donc fait ce qui me semblait le mieux. Je le mets dans des sacs en plastique que je réserve pour protéger mes pieds du froid et de l’eau, comme le font les alpinistes.s« , dit-elle.

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Cammile Bussière

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