Divertissement

« Un ivrogne! » : après sa remarque à Artus, Léa Salamé ne peut même plus compter sur ses amis

Depuis le 27 avril 2024, Léa Salamé est au coeur d’une polémique alors qu’elle recevait Artus sur le tournage de Quelle époque !. Le comédien et acteur lui a confié avoir complètement arrêté de boire ces dernières années. Face à une telle déclaration, le journaliste lui a déclaré : «Vous êtes devenu ennuyeux ! Eh bien, je veux dire, tu n’es plus anxieux mais tu es ennuyeux« .

Une sortie qui ne s’est pas bien passée du tout. Immédiatement, Léa Salamé a été victime de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux. D’ailleurs, elle devrait faire son mea culpa dans son émission diffusée le samedi 4 mai. elle ne peut même pas compter sur le soutien de ses amis. En effet, sur RTL, dans la matinale d’Yves Calvi, Philippe Caverivière, qui apparaît également dans Quelle époque !n’était pas très tendre avec son patron.

Philippe Caverivière s’en prend à Léa Salamé avec humour

« Beaucoup de gens qui ont voulu voter pour Raphaël Glucksmann et ont appris les travers de Léa se sont dit, et bien voilà, Je voulais voter pour Glucksmann mais comme sa femme est alcoolique, je voterai pour Bardella. Je ne veux pas d’un ivrogne comme première dame« , a alors lancé l’humoriste et chroniqueur.

« Léa Salamé, on pensait qu’elle était l’héritière d’Anne Sinclair, en fait c’est le nouveau Chicandier . Elle est comme ça, ma Léa, elle est épicurienne. Je l’ai vue le soir rencontrer Pierre Palmade et lui dire ‘mon Pierrot, tu as arrêté la coke, la MDMA et le chemsex… tu es devenu ennuyeux !’‘ », a-t-il poursuivi avec humour.

Léa Salamé continue les polémiques

Une sortie qui ne fera peut-être pas vraiment sourire Léa Salamé qui doit elle aussi faire face à une deuxième polémique après celle d’Artus. En effet, le 1er mai dernier, elle recevait Juliette Binoche sur France Inter. L’actrice est ensuite revenue sur les violences sexuelles auxquelles elle a dû faire face dans le milieu du cinéma. Elle a expliqué comment elle avait réussi à dire non.

« Tu étais jeune comme les autres mais, là où les autres se laissaient aller, tu as vite eu le courage de dire non, tu as mis assez vite les limites« , a déclaré la journaliste qui a été critiquée par les internautes qui ont estimé qu’elle sous-entendait que c’était la faute des jeunes actrices si elles étaient victimes de violences.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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