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Après l’incident de chantage au suicide au cours duquel il s’est blessé à la poitrine, Kendji Girac est l’objet de toutes les attentions. D’une proche connaissance du chanteur, Paris Match a appris que sa compagne Soraya avait quitté la France avec leur fille de deux ans, le jour même du drame.
Le 22 avril dernier, tout a basculé pour Kendji Girac. Le chanteur français, star de la communauté gitane, vainqueur de « The Voice » en 2014, a défrayé la chronique pour son état de santé préoccupant après une grave blessure par balle qu’il se serait infligée à la poitrine. Trois jours plus tard, on apprenait que le chanteur avait avoué à la police avoir eu recours au chantage au suicide afin de convaincre sa compagne, Soraya Miranda, de ne pas le quitter.
Mais au moment de la fusillade, leur fille de 2 ans et demi, Eva Alba, se trouvait également dans la caravane. Un détail que la compagne du chanteur n’aurait pas accepté : Soraya aurait quitté le camp de Biscarrosse avec sa fille, le matin même du drame, pour regagner son domicile en Suisse. « Elle est dans une profonde colère », estime une connaissance de Kendji Girac de Paris Match. « Elle ne voulait pas venir le voir à l’hôpital parce qu’elle ne supportait pas ses actes. Elle le trouve irresponsable, mettant en danger la vie de leur fille. Je ne pense pas qu’elle veuille avoir une explication avec lui pour le moment. »
Un couple en pleine explosion
Bien avant l’incident, ça n’allait plus bien entre Kendji Girac et Soraya. Après dix ans d’amour, les parents de la petite Eva Alba se disputaient régulièrement, notamment à cause du penchant de la chanteuse pour l’alcool. Lors de son audition, Soraya a expliqué que son compagnon souffrait d’une « dépendance naissante » à l’alcool : au moment des faits, il avait 2,5 grammes d’alcool par litre de sang. Quelqu’un qui n’était qu’un « simple fêtard » deviendrait désormais un habitué des soirées « cuisinées ».
Sa santé stabilisée, Kendji doit désormais se consacrer à sa longue convalescence – 30 jours d’interruption temporaire de travail – à l’hôpital Haut-Lévêque de Pessac (Gironde).
