Tensions dans le vestiaire du Barça après le PSG? La réponse glaciale d’Araujo aux critiques de son coéquipier Gündogan

Ronald Araujo, expulsé à la demi-heure du quart de finale retour de Ligue des champions entre le Barça et le PSG, a répondu aux critiques de son coéquipier Ilkay Gündogan. Visiblement, le défenseur uruguayen n’a pas apprécié.

Dans le cadre d’une opération promotionnelle, Ronald Araujo a répondu aux questions des journalistes, moins de deux jours après l’élimination du Barça par le PSG en quarts de finale de la Ligue des Champions. Le défenseur barcelonais, expulsé après une demi-heure de jeu, n’a visiblement pas apprécié l’amère sortie de son coéquipier Ilkay Gündogan concernant ce carton rouge.

« Des valeurs à respecter »

« Je préfère garder pour moi ce que je pense. Il y a des valeurs, des codes du vestiaire qui, selon moi, doivent être respectés », a répondu l’Uruguayen, dans des propos relayés par la presse catalane.

Ilkay Gündogan, chaud juste après le match, a regretté l’intervention de son coéquipier sur Bradley Barcola, qui lui avait valu un carton rouge : « C’est difficile à dire, je pense que dans ces moments cruciaux, il faut être bien sûr quand on intervient, quand on va chercher le ballon, je ne sais pas s’il touche le ballon ou pas mais je préfère encaisser un but ou même donner un un contre un, voire lui donner le but franchement. Le Barça, alors en position favorable, avait finalement sombré.

Jules Koundé avait, quelques heures plus tard, posté un message sur Instagram appelant à l’unité, rappelant, sans nommer Gündogan : « On gagne en équipe, on perd en équipe. »

Concernant son expulsion et l’après-match, Ronald Araujo a déclaré ce jeudi : « Je ne me sens pas coupable mais ça conditionne le match de quitter l’équipe à 10. Après il y a beaucoup de choses qui entrent en jeu dans le contexte. du match mais je sais ce que je peux apporter à l’équipe. Je remercie l’équipe pour les messages envoyés et le public qui, malgré mon expulsion, a continué à chanter. Les vrais supporters m’ont toujours soutenu.