Elle est un peu la « Gronsan » des prétoires. Un médicament miracle contre la catalepsie. Parce qu’il y a des experts pontifiants, qui endormissent les prétoires en lisant servilement leur rapport.
Et puis il y a Françoise Rosati. Professionnel sans être inaccessible aux jurés. Pas de notes, mais des démonstrations efficaces. Profession : médecin légiste.
« Personne ne voulait être médecin légiste, nous étions des monstres »
Outre la médecine générale qu’elle a longtemps exercée à Firminy, Françoise Rosati s’est très tôt orientée vers la médecine légale. « Une passerelle parfaite entre la médecine et le droit, une activité exercée par mon frère qui fut l’un des plus jeunes juges de France », explique-t-elle.
Oui, mais voilà. C’était dans les années 1980. Les séries américaines n’avaient pas…
