Divertissement

Serge Gainsbourg et Bambou : ces propos à peine croyables de leur fils Lulu, 3 ans, sur la perte de leur premier bébé

Elle a marqué la vie de Serge Gainsbourg. Entre 1980 et 1991, Bambou était le dernier compagnon du chanteur. Depuis sa mort, elle est restée discrète sur sa vie personnelle. Le jeudi 7 novembre, elle a pourtant dévoilé son autobiographie intitulée Pas à pas dans la nuit (Éd. XO).

Dans son œuvre, la femme de 65 ans raconte son enfance difficile, ses tentatives de suicide, sa rencontre marquante avec Serge Gainsbourg, mais aussi la naissance de leur fils Lucien. Celui qui est aujourd’hui musicien est arrivé dans la vie de ses parents le 5 janvier 1986.

Bambou parle de la perte de son premier enfant

Après avoir rencontré Serge Gainsbourg en 1980, lui et Bambou décident de
fonder une famille. Mais avant la naissance de Lulu, le mannequin perdu un bébé à six mois et demi. Un événement marquant pour le couple et dont elle s’est souvenue dans une interview accordée à Paris-Match avant la publication de son autobiographie.

En 1989, Serge Gainsbourg voulait reparler de la perte de ce bébé. « Un jour, Serge m’a dit : « Tu te souviens quand on a perdu… », et il s’est arrêté brusquement en réalisant que Lulu, 3 ans, écoutait. Lulu abandonne son jeu et répond : « Oui, c’était un garçon, c’était moi et je suis revenue ». Serge pâlit et se tourna vers moi, effrayé. Lulu ne savait rien et que pouvait-il savoir, à son âge, de la réincarnation ? C’était à la limite du paranormal» dit-elle.

Le fils de Serge Gainsbourg a toujours aimé la musique

À l’âge de cinq ans, Lulu Gainsbourg commence à jouer du piano. Trois ans plus tard, le petit garçon rejoint le conservatoire de Paris. Une véritable fierté pour Bambou, qui a beaucoup investi dans son éducation. « Je lui ai fait pratiquer son piano pendant des années» a-t-elle révélé à parisien.

Devenu adulte, Lucien Gainsbourg décide de suivre les traces de son célèbre père et devient musicien et compositeur. « Il part étudier à Berkeley, aux États-Unis. A l’école, c’était l’enfer. Il voulait s’amuser là-bas, pas travailler. Tandis que la musique, les battements de mesure, les dictées de solfège, c’était un jeu» se souvient Bambou. Des confidences touchantes.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
Bouton retour en haut de la page