Divertissement

la blague osée de Christophe Dechavanne dans «Quelle époque!» à Matthieu Lartot qui a subi une amputation

« Sur une jambe! » : dans « Quelle époque ! », la blague audacieuse de Christophe Dechavanne à Matthieu Lartot victime d’une amputation
Capture d’écran / France 2

Samedi soir, le commentateur sportif de France Télévisions était invité sur le plateau de Léa Salamé. L’invité permanent de l’émission a glissé une blague qui a provoqué beaucoup de rires de la part de l’ensemble du plateau et du principal concerné.

Cet été, Denis Brogniart et Matthieu Lartot portera la flamme olympique avant le début des Jeux Olympiques de 2024 à Paris. Le 12 juillet pour le premier en Bourgogne, sa région natale, le 15 juillet dans la capitale pour le second. Les deux invités dans « Quelle heure ! » Samedi soir sur France 2, les journalistes amateurs de sport sont revenus, sans une certaine fierté. Christophe Dechavanne qui n’a pas eu cette chance, s’est demandé quels étaient les critères de sélection.

« Il faut être capable de courir 200 mètres”, a rétorqué Denis Brogniart en plaisantant. Un jeu d’enfant assure Christophe Dechavanne en face. « Alors voilà mon ami, sur une jambe !, a-t-il même déclaré devant son voisin de table, Matthieu Lartot, récemment amputé d’une jambe. « Pardon », l’ancien animateur de « Coucou, c’est nous ! » a immédiatement déclaré, tandis que le journaliste de France Télévisions s’en moquait. « je t’autorise», ajoute ce dernier avant de prendre par le bras l’invité permanent du talk-show en signe d’amitié. « Je pensais que ce serait Paul (de Saint-Sernin, ndlr) qui ferait ça en premier, mais non !», ironise le commentateur et présentateur de « Stage 2 ».

Plus loin dans l’interview, Matthieu Lartot revient sur le cancer du genou qui l’a conduit à devoir subir une amputation il y a un an. Une épreuve à laquelle il se préparait depuis longtemps. Adolescent, les médecins avaient déjà détecté une tumeur. « S‘il faut amputer, vas-y, je suis prêt», confiait-il au chirurgien avant l’annonce de l’opération. « Cette jambe m’a fait tellement souffrir pendant 26 ans que j’ai accepté cette idée. Même si la tumeur n’était pas revenue de cette façon, avec cette taille, il aurait été impossible de retirer ma prothèse de reconstruction et de m’en donner une autre. J’aurais été amputé de toute façon, mais pas autant qu’aujourd’hui. »souligne-t-il avant de préciser qu’il lui reste 14 centimètres de jambe.

Les travaux de réhabilitation ont été les plus éprouvants pour Matthieu Lartot. « Il a fallu réapprendre à marcher comme un enfant. Au final, je peux avoir une bien plus grande mobilité qu’avant et surtout, ce qui était important c’était de me remettre sur pied. Après des mois d’absence, l’homme a repris du service le 8 septembre, lors du coup d’envoi de la Coupe du monde de rugby retransmis sur le service public.

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Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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