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Les chercheurs ont simulé l’impact du remplacement de la viande rouge par des petits poissons gras sur le plan cardiovasculaire, apportant ainsi de nouveaux éclairages sur la nutrition globale.
Steak saignant, poisson vapeur ou plat végétarien ? De nombreux amateurs de viande ont du mal à résister à la tentation. Cependant, les scientifiques n’ont plus aucun doute sur les effets néfastes sur la santé d’une consommation excessive de viande rouge. Sa teneur élevée en « mauvaises graisses » (acides gras saturés) est en effet associée à un risque accru de cancer colorectal, de certaines maladies cardiovasculaires et même de diabète de type 2.
C’est pourquoi les autorités sanitaires recommandent de ne pas dépasser 500 grammes de viande rouge par semaine, tout en essayant de privilégier des alternatives plus saines. Parmi ces derniers, certains petits poissons gras (hareng, sardines, anchois, maquereau) ont le triple avantage d’être abondants dans les océans, de se reproduire rapidement et d’avoir une composition nutritionnelle intéressante. En essayant d’imaginer différents scénarios dans lesquels la consommation de viande serait remplacée en partie par ces petits poissons…
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