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pourquoi la réforme pourrait réduire la durée d’indemnisation à quinze mois maximum – Libération

Travail

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Si le gouvernement n’affecte pas directement la durée des droits au chômage, la prise en compte des périodes travaillées sur vingt mois, contre vingt-quatre auparavant, pour ouvrir les droits supprimera automatiquement le plafond de dix-huit mois actuellement existant. , alerte la CFDT.

Gabriel Attal devrait révéler – ou plutôt confirmer – ce dimanche 26 mai 2024, dans un entretien à la presse écrite, le contenu de la réforme de l’assurance chômage qu’il veut mettre en œuvre par décret à partir du 1er juillet. Mesure centrale dont la ministre du Travail, Catherine Vautrin, a déjà discuté avec les représentants syndicaux et patronaux qu’elle a reçus cette semaine : un durcissement des conditions d’affiliation permettant d’ouvrir les droits.

En choisissant d’actionner ce levier, le Premier ministre semble faire un choix moins punitif que ce qui était initialement envisagé. La durée maximale d’indemnisation, déjà plafonnée à dix-huit mois depuis février 2023, semble avoir été épargnée même s’il avait envisagé, fin mars sur TF1, qu’elle pourrait descendre à douze mois. Et pourtant, à moins que le gouvernement n’y remédie, il sera lui aussi touché par la réforme, de sorte qu’un chômeur ne pourra plus percevoir d’indemnisation pendant plus de quinze mois.

Un coefficient multiplicateur de 0,75

La CFDT a été la première à s’en inquiéter

Cammile Bussière

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