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Même avant les élections, Melania Trump refuse de redevenir « First Lady » à plein temps

Jeanne Le Borgne

Pour Melania Trump, il ne serait pas question de s’installer à temps plein à la Maison Blanche en cas de victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. La « First Lady » partagerait son temps entre Washington et New York.

Pour Melania Trump, la priorité, c’est son fils. Déjà très en retard dans la nouvelle campagne présidentielle de son mari – elle n’était même pas à ses côtés à la fin de son débat contre Joe Biden -, le mannequin d’origine slovène aurait signé un accord avec Donald Trump pour « ne pas devenir Première Dame à 100% ». en cas de victoire du camp républicain à la prochaine élection présidentielle américaine.

Selon le bien informé « Page Six », Melania Trump aimerait rester proche de son fils, Barron Trump, pour sa première année d’université. Il semblerait toutefois que le benjamin du clan Trump soit attendu à l’université de New York à l’automne. L’ancienne Première Dame aimerait passer « une partie de chaque mois et potentiellement chaque semaine » dans la Big Apple et son appartement de la Trump Tower.

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« Barron n’a jamais été complètement seul auparavant et avec le stress supplémentaire d’être à la fois un étudiant de première année et potentiellement le fils d’un président dans une ville à majorité démocrate, (Melania Trump) veut être proche… », explique la source du Médias américains, qui rappelle que, déjà en 2017, elle avait retardé de cinq mois son déménagement à la Maison Blanche pour que son fils puisse terminer son année scolaire à New York.

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Une maman ultra protectrice

« Page Six » affirme en outre que Melania Trump, qui était déjà connue pour être très protectrice, pour ne pas dire « mère poule », avec son fils, se serait opposée à son entrée en politique en mai dernier. Ainsi, si Barron Trump déclinait l’offre du Parti républicain de Floride d’être délégué de l’État, ce serait sur ordre de sa mère, qui ferait tout pour le protéger de la politique et des médias.

Une stratégie que l’épouse de Donald Trump semble avoir adoptée depuis le début de cette campagne présidentielle – marquée par le procès de son mari contre Stormy Daniels. Ses apparitions publiques sont rares et ses discours se comptent sur les doigts d’une main. Pourtant, des insiders assurent qu’elle reste un soutien majeur pour son mari, toujours aussi volubile que discrète.

Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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