Joël SAGET / AFP
Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte lundi soir par le parquet de Mont-de-Marsan. Des échantillons de poudre ont été prélevés sur les mains du chanteur et de son épouse, afin de vérifier si la version donnée par les témoins est corroborée.
Des premiers témoignages pour le moins”confus« . Lundi soir, le parquet de Mont-de-Marsan a reconnu dans son communiqué que les premières investigations n’avaient pas permis de faire la lumière sur les conditions entourant la blessure par arme à feu de Kendji Girac. Et ce, « tant sur les circonstances des faits que sur le lieu exact où ils se sont produits», a souligné le procureur de la République Olivier Janson. Ce mardi, l’artiste est toujours hospitalisé à l’hôpital Haut-Lévêque de Pessac, grièvement blessé au thorax mais conscient. L’enquête a été ouverte sous le titre de «tentative d’homicide volontaire » et les premiers jours seront décisifs pour lever le voile sur les zones d’ombre qui entourent ce que lui et ses proches qualifient de « accident« .
Une balle accidentelle dans la poitrine ? « Très rare »
Lundi matin à l’aube, alors qu’il a été récupéré par le SAMU à 5h25 dans la principale zone de transit de Biscarrosse, dans les Landes, Kendji Girac a présenté une blessure par balle à la cage thoracique. Le projectile est sorti par l’arrière. Son état de santé ne permettait pas une audience sur le dossier, mais lors de premières déclarations, le chanteur a affirmé que sa blessure était le résultat d’un « tir accidentel« , « qu’il aurait lui-même provoqué en maniant une arme« . Contacté par Le Figaroune source au sein des pompiers précise qu’il s’agit «très rare
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