Divertissement

le jour où Adriana Karembeu a rencontré le réalisateur qui l’a agressée sexuellement

KD

Adriana Karembeu est revenue sur l’agression sexuelle qu’elle a subie, et sur l’audace de son agresseur le jour où elle l’a recroisé par hasard dans un restaurant.

Elle n’en avait jamais parlé. Dans son autobiographie « Libre », publiée aux éditions Leduc, jeudi 2 mai 2024, Adriana Karembeu raconte avoir été agressée sexuellement par un « célèbre réalisateur » dont elle n’a pas dévoilé le nom, il y a une vingtaine d’années. Une agression dont elle n’avait parlé à personne.

« Il ne m’a pas violée mais ce n’était pas… c’était une agression », a-t-elle déclaré dans un entretien avec Guillaume Pley pour « Legend ». « À l’époque, j’ai un certain âge, j’ai entre 30 et 35 ans, alors j’ai dit : ‘Pauvre salaud.’ Voyez-vous, c’est affreux que j’aie écarté cette histoire, alors que j’avais le droit de la dire. Mais par réflexe, je me suis dit… ça ne m’est même pas venu à l’esprit de le dénoncer. »

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« Le mec me fait mal, et en plus je le protège »

Et l’histoire ne s’est pas arrêtée là. Quelques semaines après l’agression, Adriana Karembeu l’a retrouvé « dans un restaurant, par hasard » alors qu’elle dînait avec son mari de l’époque, Christian Karembeu. « Je ne l’ai pas vu et lui-même vient me dire bonjour à table. Il m’a dit : « Ça va ? Est-ce que tu vas bien ? » Il n’a pas peur. »

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Une audace qui la déconcerte : « Ça veut dire qu’il a bien choisi sa victime. Si jamais je le disais à Christian, ce type, il sortirait mort de ce restaurant. Et il a osé. Parce qu’il se disait : « Hé, pauvre fille faible, elle ne va pas le faire. » Je ne l’ai pas dit à Christian, parce que je savais qu’il allait le tuer. Imaginez, le gars me fait du mal, et en plus, je le protège. »

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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