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L’armée israélienne affirme que les trois otages tués en novembre ont « probablement » été tués par une frappe aérienne

Parmi ces trois otages figurait le Franco-israélien Elya Tolédano, dont la mort avait été annoncée en décembre.

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Des soldats israéliens tirent un obus en direction de la bande de Gaza, le 12 décembre 2023, à la frontière entre Israël et l'enclave palestinienne. (JACK GUEZ / AFP)

L’armée israélienne a annoncé dimanche 15 septembre que trois otages morts à Gaza en novembre ont été libérés. « probablement » tués par une frappe israélienne, selon les résultats d’une enquête sur les circonstances de leur mort. En décembre, Israël a ramené les dépouilles des soldats Nick Beizer et Ron Sherman et du Franco-israélien Elya Tolédano de la bande de Gaza, où ils étaient retenus en otage.

L’armée a déclaré qu’ils avaient été tués « lors de l’élimination du commandant de la Brigade Nord du Hamas, Ahmed Ghandour ». « L’enquête indique que les trois otages étaient détenus dans un complexe souterrain d’où opérait Ghandour. »le communiqué a ajouté, précisant que l’armée n’avait pas « aucune information sur la présence d’otages dans le complexe visé » par la frappe. Le Hamas a confirmé fin novembre qu’Ahmed Ghandour avait été tué par l’armée israélienne.

Depuis le 7 octobre, 27 otages ont été tués dans la bande de Gaza. Sur les 251 personnes enlevées lors de l’attaque du Hamas, 97 sont toujours détenues dans la bande de Gaza, dont 33 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne. La campagne militaire de représailles d’Israël a fait au moins 41 206 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas.

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Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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