La chance est plus forte que l’expertise. Depuis les années 1990, cette Nordiste joue au PMU trois fois par semaine. C’est son mari qui lui a donné le virus, car il est passionné par la discipline. De son côté, il étudie les courses, compare les chevaux, consulte les pronostics et parie comme un vrai professionnel. Elle remplit ses grilles de tiercé ou de quinté de numéros porte-bonheur. Anniversaires, dates de décès, etc.
Sauf que le 14 juillet, ce ne sont pas les analyses méthodiques du monsieur qui ont payé, mais plutôt la chance de sa partenaire. « On a regardé la course sur Equidia à la maison et quand j’ai vu que j’avais l’arrivée en ordre, j’ai tout de suite regardé sur Internet combien j’avais gagné », a-t-elle déclaré au PMU en venant récupérer son chèque. Et pas n’importe lequel, puisque celui-ci, d’un montant de 1 425 030 euros, représente le plus gros gain de l’année.
Des maisons, des meubles et une voiture
Et comme si elle s’attendait à gagner un jour le gros lot, la joueuse sait parfaitement à quoi servira tout cet argent : « Je compte acheter une maison pour nous, ainsi que deux autres pour mes deux enfants. J’achèterai aussi de nouveaux meubles et une nouvelle voiture », énumère-t-elle.
Et parce qu’on ne sait jamais, l’heureuse élue assure qu’elle continuera à jouer aux chevaux, dans le même point de vente PMU, le Trocadéro. Un beau coup de pub pour l’établissement qui ne propose cette activité que depuis deux ans.
