Divertissement

Ryan Gosling rompt définitivement avec Ken en chanson

Invité samedi 13 avril à partir de Saturday Night Livele chanteur a fait preuve d’originalité pour dire au revoir au personnage qui l’accompagnait depuis des mois.

Alors que Marion Cotillard a eu du mal à se séparer d’Edith Piaf après L’enfantRyan Gosling a du mal à lâcher Ken depuis le phénomène Barbie. C’est en tout cas le sujet d’un sketch qu’il a présenté samedi 13 avril dans l’émission satirique américaine Saturday Night Liveallant jusqu’à faire une sérénade à la célèbre poupée sur un air de Taylor Swift.

Comme chaque semaine, le spectacle s’est ouvert sur un monologue humoristique de la personnalité invitée. Ryan Gosling, venu promouvoir son nouveau film Le gars qui tombe à pic avec Emily Blunt, a commencé le sien en parlant de Ken, le personnage dans lequel il incarnait Barbie par Greta Gerwig.

Outre le succès mondial en salles cet été, la promotion du film s’est poursuivie jusqu’à la cérémonie des Oscars en mars dernier, au cours de laquelle Ryan Gosling a repris l’une des chansons du film, Je suis juste Ken.

« Ken et moi… nous avons dû rompre », déclare-t-il pour la première fois sur scène à SNL. « Quand on incarne un personnage aussi longtemps, avec autant d’intensité, le laisser partir, c’est comme une rupture. Et pour digérer une rupture, il n’y a qu’une chose qui peut aider : la musique de la grande Taylor Swift. »

L’acteur de 43 ans se place ensuite derrière un piano pour interpréter une ballade adressée à son personnage sur l’air de Trop bienl’un des morceaux phares du chanteur américain.

Entre Barbieland et la bombe atomique

Emily Blunt, sa partenaire dans Le gars qui tombe à pic, afin de lui rappeler qu’il est censé promouvoir leur film commun. Mais rappelé à la mémoire deOppenheimerfilm en compétition de Barbie dont elle a joué cet été l’un des rôles principaux, elle commence elle-même à chanter aux côtés de l’acteur.

Très attendu avant leur sortie, Oppenheimer Et Barbie tous deux sont sortis en salles le 19 juillet. Cette coïncidence de timing a créé le phénomène « Barbenheimer » sur les réseaux sociaux, les internautes imaginant une rivalité entre ces deux longs métrages diamétralement opposés (le premier racontant le parcours de l’inventeur de la bombe atomique, le second proposant une chronique féministe dans le royaume enchanté de Barbieland).

Barbie a dépassé Oppenheimer au box-office mondial, récoltant 1,4 milliard de dollars contre 968 millions de dollars. A l’inverse, le film historique de Christopher Nolan est sorti grand vainqueur aux Oscars avec pas moins de treize statuettes, contre huit pour Barbie.

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Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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