FFF : Diallo et Aulas en panique totale
L’histoire est en train de s’écrire à la Fédération Française de Football. Les élections qui doivent permettre d’identifier un nouveau président se déroulent bien et le tandem Aulas-Diallo aurait pris du retard.
Les élections à la présidence de la Fédération française de football vont bientôt révéler l’identité du futur patron du football français. Pour l’instant, le poste est occupé par Philippe Diallo, président par intérim depuis la mise à l’écart de Noël Le Graët et candidat au maintien de ce poste cette fois en étant élu. Pour la prochaine mandature, ces derniers pourront compter sur la présence de Jean-Michel Aulas. L’illustre ancien président de l’Olympique Lyonnais est en lice pour devenir numéro 2 de la FFF. Un tandem qui aurait pris du retard sur la concurrence, selon Romain Molina.
Jean-Michel Aulas perd beaucoup de voix face à Philippe Diallo (pro et amateur).
Ils paniquent parce que le vent tourne…
-Romain Molina (@Romain_Molina) 10 décembre 2024
Sur son compte X, Romain Molina, écrivain et enquêteur spécialisé dans le sport, dont le football, a donné quelques indices sur l’élection qui se déroule actuellement. Si Pierre Samsonoff semble faire son chemin sans encombre, saluant notamment les votes du football amateur rural en nombre, le duo Diallo-Aulas sentirait le vent tourner.
« Aulas perd beaucoup de voix »
» Le clan Diallo/Aulas est actif depuis plusieurs jours, lançant des appels et des messages ici et là. Eux qui pensaient gagner tranquillement les élections de la FFF. Jean-Michel Aulas perd beaucoup de voix face à Philippe Diallo (pro et amateur). Ils sont en panique », a glissé Romain Molina. Sans en dire davantage sur les chances de victoire de l’un ou de l’autre, il précise que la victoire n’est pas encore acquise pour le président sortant.
Pour rappel, le monde amateur s’est largement mobilisé pour faire de ces élections un exemple de démocratie. Selon les chiffres donnés par Foot Amateur, hier mardi 10 décembre à 18 heures, le taux de participation était déjà de 21,44 %. Un chiffre bien au-delà des attentes de la Fédération française de football.