dans les coulisses du spectacle d’opéra imaginé par Thomas Jolly pour la cérémonie de clôture
Alerte spoiler ! Après le défilé spectaculaire sur la Seine du 26 juillet qui a laissé des traces, le réalisateur et ses équipes mettent la dernière main au spectacle du dimanche à venir « exceptionnel » et non moins perturbateur.
Comment faire mieux ? Mieux que la grande parade sur la Seine qui, de la Conciergerie au Musée d’Orsay, de la Tour Eiffel à la pyramide du Louvre, a fait vibrer les spectateurs du monde entier ? Mieux que les plumes de Lady Gaga et la voix de Céline Dion, mieux que le medley d’Aya Nakamura et de la Garde républicaine, qu’Alexandre Kantorow jouant Jeux d’eau de Ravel sous une pluie battante, le cheval Sequana galopant sur le fleuve, les forces combinées de l’Orchestre de Paris et de l’Orchestre national de France ? Thomas Jolly sait que chacun rêve de nouvelles surprises. C’est là tout l’enjeu. La cérémonie de clôture est annoncée plus courte – environ 2 heures et demie contre 4 heures le 26 juillet – mais elle ne sera pas moins belle, pas moins innovante et pas moins mémorable que la cérémonie d’ouverture. C’est la promesse renouvelée des équipes en charge des festivités olympiques réunies autour de Thomas Jolly.
Au milieu d’un hangar au Nord de…