BILLET D’HUMEUR – En choisissant ce chanteur, Thomas Jolly maintient son fil conducteur inclusif qu’il veut empreint de bienveillance.
On attendait Beyoncé pour le final de la cérémonie de clôture, elle qui est aussi une fervente supportrice de l’équipe USA sur les réseaux sociaux. Hélas, c’était Yseult. Les Américaines s’y retrouveront. Les Françaises, c’est moins sûr. En choisissant cette chanteuse ultra-woke, Thomas Jolly maintient son fil inclusif qu’il veut empreint de bienveillance.
Issue d’un milieu privilégié (père cadre chez Land Rover), elle a, à 26 ans, après son passage chez La nouvelle étoileYseult a signé un contrat avec Universal Music. Après avoir assuré la première partie d’Angèle, elle s’est imposée grâce au succès d’un EP de six titres intitulé Corps. Ces derniers jours, son nom est bel et bien entré dans les charts aux Etats-Unis, au Japon et au Brésil. Mais contrairement à Aya Nakamura, c’est avec une seule chanson. Et pas en solo. Alibi est chanté par l’Iranienne Sevdaliza avec en invités Yseult et le drag queen brésilien Pabllo Vittar.
Connue pour ses déclarations sensationnelles, cette amie d’Assa Traoré et d’Adèle Haenel…
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