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Censure, destitution, manifestation… le PFN peine à s’accorder sur la réponse à donner à Emmanuel Macron


NARRATIF – Après la décision du président d’écarter la nomination d’un gouvernement du PFN, les Insoumis ont annoncé leur intention d’engager une procédure de destitution contre le président. Une hypothèse que ne soutiennent pas les autres partis de gauche.

Ils n’attendaient rien, mais sont tout de même déçus. Après le refus d’Emmanuel Macron de remettre les clés de Matignon à Lucie Castets, la candidate désignée par le Nouveau Front populaire (NFP), les différentes composantes de l’alliance de gauche fulminent. Depuis lundi soir, toutes les têtes de plume du NFP redoublent de superlatifs pour dénoncer la «  déni de démocratie » du Président de la République. Toutefois, les quatre principaux partis de la coalition ne parviennent pas à s’entendre sur la réponse à apporter au chef de l’Etat.

Vingt minutes après l’annonce du veto d’Emmanuel Macron, c’est Jean-Luc Mélenchon qui – comme souvent – ​​a été le premier à contester la décision. «  Le Président de la République vient de créer une situation d’une gravité exceptionnelle. »a dénoncé le tribun sur son compte X avant d’assurer qu’un «  une motion de destitution sera déposée » contre le chef de l’Etat, ainsi qu’une motion de censure contre…

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Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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