Divertissement

Après Stitch et Toothless, vous craquerez pour « The Wild Robot »

Si vous ne connaissez pas le nom de Chris Sanders, il y a de fortes chances que vous connaissiez son travail. On lui doit notamment les créations de Stitch pour Lilo et Stitch et de Édenté pour Dragonsdeux films qu’il a co-réalisés avec Dean DeBlois. L’héroïne de Robot sauvage est aussi attachant que ces créations précédentes.

«Je n’y suis pas pour grand-chose», nous confiait Chris Sanders au Festival d’Annecy. Toute la magie était déjà dans les romans de Peter Brown. Le réalisateur est trop modeste. L’inspiration vient des livres mais la poésie de cette histoire d’un robot qui échappe à sa programmation pour adopter un oison doit aussi beaucoup à ses dessins et à sa mise en scène. Rarement les studios DreamWorks auront proposé une œuvre aussi sublime dans ses visuels que dans son message écologique.

Des influences très riches

« J’ai évidemment pensé à Hayao Miyazaki et au robot de Château dans le cielil admet. Peu de cinéastes ont su allier animation et écologie comme Miyazaki-san. » A cette référence évidente s’ajoute celle du Géant de fer par Brad Bird. « J’adhère à cette idée parce que Brad a proposé un personnage robot qui transcende sa condition pour révéler son humanité. »

Chris Sanders fait de même avec cette attachante machine dont l’évolution se déroule dans des décors d’une beauté intense. « J’ai aussi pensé au C3-P0 de Guerres des étoiles et à Robbie Dans Planète interditeconfie Chris Saunders. J’espère avoir réussi à capter une infime partie du génie des artistes qui m’ont influencé. » Il peut se rassurer : Le robot sauvage trouve facilement sa place parmi ces modèles prestigieux. Ce film est une merveille (et on veut une figurine Roz).

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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