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Albert Riera après Saint-Etienne – Girondins (2-1) : “S’il se passe beaucoup de choses, on est mort »

C’est difficile à expliquer. Pendant tout le match, nous nous sommes sentis supérieurs. Le plan de jeu a fonctionné, nous avons trouvé l’homme libre. C’est une question d’efficacité sur les deux surfaces comme toute l’année.

L’équipe a-t-elle pris trop de risques en planifiant à la 90e minute ?

Vous parlez déjà de la 90ème minute… A la mi-temps, le score aurait dû être 0-4. Nous aurions dû avoir plus d’impact dans la zone offensive. En début de seconde période, ils (les Stéphanois) ont encore bien démarré, poussé pendant 10-15 minutes mais on a tenu le coup. Mais il faut être plus calme, nous ne sommes pas une équipe qui joue en transition. On a commencé à souffrir quand le match passait d’un côté à l’autre. Il faut respirer, rester calme. Si quelque chose arrive, nous sommes morts. Après, dans notre région, je ne sais pas ce qui s’est passé… Je ne sais pas si je suis l’entraîneur idéal dans ce championnat, si j’y serais encore mais il faut que les choses changent. Toute l’année, on a eu ces problèmes : 70-75%, c’est très bien, sauf dans les deux surfaces. Ça fait mal. Nous avons peur quand l’adversaire arrive. Dans l’ensemble, je suis content du match. Nous avons joué à l’intérieur, dans les espaces entre les défenseurs centraux et les latéraux. Nous l’avons bien fait, nous avons causé des problèmes, nous les avons fait revenir sur leur territoire. Mais au final, dans le football, pour vous, le résultat est plus important que tout. Et le résultat n’est pas bon.

Vous rejouez mardi contre Dunkerque avec encore des points à prendre pour conserver. Qu’avez-vous dit aux joueurs ?

Que. Personne ne crie. Il y avait beaucoup de sensations, d’émotions. Ce n’est pas le moment. Il faut bien récupérer ce soir, demain. Lundi, nous parlerons un peu. Nous analyserons ce que nous pouvons améliorer. Ce qui est passé est passé. Nous allons essayer de continuer à progresser, de pousser les joueurs au maximum avec leurs capacités.

Vous avez affronté toutes les équipes candidates à la montée. Où situez-vous Saint-Étienne ?

Je ne suis pas là pour parler de Saint-Etienne. Aujourd’hui, pour moi, nous étions meilleurs qu’eux. Albert a dit que nous avions perdu mais que nous étions meilleurs. Vous pouvez l’écrire en grand.

Que s’est-il passé lors de la bagarre à l’entrée des vestiaires en fin de match ?

Cammile Bussière

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