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A moins d’un mois des tests, des incertitudes sur la qualité de l’eau de la Seine

La rivière qui traverse la capitale charrie encore trop d’eau et de bactéries à moins d’un mois de l’ouverture des Jeux olympiques.

«  On y verra plus clair à la mi-juillet. » Après des mois d’optimisme sans faille, les récents propos du président du comité d’organisation des JO, Tony Estanguet, sur la qualité de l’eau de la Seine ont quelque chose de rafraîchissant. A moins d’un mois du départ de l’épreuve olympique de triathlon, le 30 juillet, au pont Alexandre III, la rivière n’est pas encore propice à la baignade.

Plus de 1,4 milliard d’euros ont été investis pour dépolluer la Seine « à 75 % » et permettre ensuite à tous d’y plonger à Paris dès l’année prochaine, après un siècle d’interdiction. Pour cela, il faut réduire au maximum la présence des deux types de bactéries prises en compte pour déterminer si l’eau est baignable ou non : Escherichia coli et les entérocoques intestinaux. Ces bactéries «  sont représentatifs d’autres types de contamination microbiologique »affirme Thomas Thiebault, enseignant-chercheur à l’École pratique des hautes études – Université PSL. Ils peuvent générer une pathologie…

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Cammile Bussière

One of the most important things for me as a press writer is the technical news that changes our world day by day, so I write in this area of technology across many sites and I am.
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