À la une : le financement caché du Hezbollah via l’Afrique de l’Ouest
Ceci est une enquête de journal le monde intitulé: » L’Afrique de l’Ouest, au cœur des réseaux de financement du Hezbollah. « Grâce à l’importante communauté libanaise établie en Côte d’Ivoire ou en Guinée »nous raconte le quotidien français, « le mouvement chiite dispose d’une base solide pour lever des fonds. Elle s’appuie notamment sur un système mafieux, utilisant le blanchiment d’argent de la drogue. ». Le monde Je suis allé à Abidjan, au quartier Marcory » surnommée la petite Beyrouth »Ou « personne n’ose en parler « Parti de Dieu » et son influence. Pourtant, son ombre apparaît grande. La plupart des chiites libanais de Côte d’Ivoire et plus largement d’Afrique de l’Ouest contribuent indirectement à l’effort de guerre du Hezbollah au Moyen-Orient à travers « zakat »un impôt informel »expliquer le monde.
Précision : » Aucun montant n’est connu tant le réseau est vaste et opaque. Devenue un État dans l’État au Liban, l’organisation a construit une économie parallèle qui s’appuie sur un vaste réseau de blanchiment d’argent lié au trafic de drogue, de diamants, de bois et d’armes en Amérique du Sud. et en Afrique de l’Ouest, bénéficiant au passage de la complicité de sa diaspora. Selon le monde » Les réseaux du Hezbollah sont proches des cartels colombiens et mexicains dont ils « laver » une partie des revenus en Afrique. Un système « sophistiqué », ajoute le quotidien français, « un système de détournement de fonds destiné au mouvement chiite rendu possible également par la corruption des élites locales ».
Ignoré et abandonné
A la Une également, le premier anniversaire des attentats terroristes du 7 octobre 2024. A cette occasion, le Le journal Wall Street Et le Washington Post Retour au rôle des observatrices, ces femmes soldats israéliennes stationnées près de la frontière avec Gaza, et qui, bien avant le 7 octobre, avaient alerté « les activités de plus en plus suspectes du Hamas ». » Mais personne n’a réagi”lui rappelle Le journal Wall Street. » Alors que depuis des mois, ces jeunes femmes avaient prévenu à plusieurs reprises – et avec une véhémence croissante – leurs supérieurs que le Hamas semblait préparer une attaque de grande ampleur.» Une attaque dont certains d’entre eux furent les premières victimes : « abattus », « brûlés vifs » Ou » pris en otages à Gaza.
LE New York Times pour sa part, affirme que les observateurs israéliens (un « unité militaire exclusivement féminine ») qui continuent de surveiller les frontières (mais cette fois dans le nord du pays), » sont ignorés par leur commandement, comme ils l’étaient avant l’attaque du Hamas ». » Ce sont les yeux de l’armée” le long de la frontière israélienne avec le Liban. Mais selon le Washington Postils sont » abandonnés au Nord, après avoir été abandonnés pour mourir au Sud. » Nous ne sommes pas protégés »dit l’un d’eux : nos supérieurs veulent seulement nous faire taire, ils ne veulent pas que nous nous plaignions, alors ils nous ignorent encore plus.» Pourquoi une telle attitude ? Selon des observateurs cités par le quotidien américain, « Cela peut être dû en partie à la misogynie profondément ancrée au sein des Forces de défense israéliennes, où les décideurs sont presque toujours des hommes.
Adieu à un acteur populaire en France
Michel Blanc est décédé hier à l’âge de 72 ans. Sa photo fait la Une du parisiende Libérer et de Figaro. » Du rire aux larmes »titre le parisien, « il laisse un grand vide dans nos vies ». » C’est drôle jusqu’aux larmes »se lamente pour sa part Libérer« il était l’homme de l’ombre fragile du cinéma français ». Enfin, Le Figaro remarque : « les anti-héros meurent aussi ». » C’est la première fois que Michel Blanc ne nous amuse pas.