Certains d’entre eux sont réunis depuis le 17 juin à Marcoussis, mais les Bleus de Fabien Galthié ont hâte de passer aux choses sérieuses. Ils s’envolent ce jeudi pour Mendoza, théâtre du premier test face aux Pumas.
Une dernière étape pour la route avant de s’envoler pour Mendoza. Mercredi matin, le XV de France s’est entraîné une dernière fois dans les installations du club de San Isidro, situées au nord de Buenos Aires. Une séance à laquelle était présent l’ancien sélectionneur des Bleus Marc Lièvremont, présent pour commenter les deux tests-matchs face aux Pumas sur Canal +. L’ancien arrière des Pumas Nani Corleto était également au bord du terrain et a longuement discuté avec le sélectionneur français Fabien Galthié.
Cette dernière séance a été l’occasion de peaufiner les derniers réglages avant de passer aux choses sérieuses. Les Bleus s’envolent ce jeudi matin pour Mendoza, théâtre du premier test face aux Pumas, samedi à 21h00 heure française. Un convoi organisé en deux vols pour les 42 joueurs et 30 membres du staff. La composition de l’équipe sera annoncée par le sélectionneur Fabien Galthié depuis l’hôtel où logera la délégation française jeudi à 15h00 (20h00 heure française). Une composition qui ne devrait guère présenter de surprisesFabien Galthié a laissé peu d’incertitudes lors de toutes les séances d’entraînement ouvertes à la presse.
C’est aussi bien d’arriver rapidement au match.
Visiblement, certains d’entre eux étant ensemble depuis le 17 juin à Marcoussis, les joueurs sont impatients d’entrer dans le vif du sujet. « On a vraiment hâte de jouer parce que je fais partie de ceux qui sont à l’entraînement depuis deux semaines. Deux semaines de travail intensif où on a beaucoup couru. On a vraiment hâte de commencer à jouer. Jouer ces trois matchs en une semaine (Note de l’éditeur : 10 jours), C’est inhabituel pour tout le monde. On s’adaptera, mais tout le monde veut jouer. »
« Je confirmesourit l’ouvreur Antoine Hastoy, assis à côté de lui dans la petite salle du club-house décorée de maillots, de trophées et même d’une cheminée en brique plutôt vintage. « La préparation est une bonne chose. Avoir le temps de s’acclimater à l’environnement est une bonne chose. Mais il est également bon de pouvoir se mettre rapidement au jeu. »
Les membres du personnel ressentent également cette impatience. « Quand on est compétiteur, on est toujours impatient.sourit Laurent Sempéréentraîneur de la French touch. On a attendu le début du premier stage le 17 juin, puis on a attendu les demi-finales pour finaliser le groupe, avant d’attendre le jour du départ. Finalement, on sent qu’on se rapproche des matches, qui restent le seul véritable indicateur. C’est un moment important pour ce groupe, d’autant qu’avec deux matches en trois jours, ils vont devoir affronter un rythme d’enfer, avec beaucoup de logistique. » Et pour conclure : « C’est là que nous comprenons l’importance d’une formation constante, afin que tout le monde soit prêt en cas de besoin. »
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