XV de France - Affaire Jégou-Auradou : Un témoin brise enfin son silence !
Les nouvelles les plus importantes de la journée

XV de France – Affaire Jégou-Auradou : Un témoin brise enfin son silence !

XV de France – Affaire Jégou-Auradou : Un témoin brise enfin son silence !

Le rugby

XV de France – Affaire Jégou-Auradou : Un témoin brise enfin son silence !

Publié le 19 juillet 2024 à 16h35

C’est la grosse polémique qui anime l’été du XV de France, loin des terrains et du ballon ovale. Grands espoirs du rugby français et appelés par Fabien Galthié pour la tournée estivale, Oscar Jégou et Hugo Auradou ont été mis en examen par la justice argentine pour viol aggravé et risquent entre 8 et 20 ans de prison. Mais un nouveau témoignage pourrait bien tout remettre en cause…

On aurait aimé pouvoir parler de rugby. Mais après le dérapage raciste de Melvyn Jaminetune nouvelle et très grave affaire a éclaté au sein de la XV de Franceavec deux internationaux accusés de viol aggravé. oscar Jégou Et Hugo Auradou sont en effet accusés par une femme de 39 ans d’abus sexuels, mais aussi de violences, dans des faits remontant à la nuit du 6 au 7 juillet.

Cette affaire a depuis fait couler beaucoup d’encre et a même frôlé l’accident diplomatique, les deux accusés niant toute agression sexuelle ainsi que toute violence, assurant que la relation avec la supposée victime était consentie. En attendant que la justice mène son enquête, Jégou Et Auradou ont été libérés de prison après que le bureau du procureur de Mendoza ait accepté leur assignation à résidence.

Mais un nouveau chapitre important s’est déroulé très récemment, avec l’audition du chauffeur de VTC que la victime présumée a appelé le lendemain matin des faits. Selon les informations de Zone MDZCe chauffeur aurait déclaré aux enquêteurs qu’il avait récupéré sa cliente au pied de l’hôtel où séjournait toute l’équipe du XV de France et l’avait reconduite chez elle. Mais il aurait également expliqué n’avoir constaté aucune trace de violence sur le corps de la femme, bien qu’elle se trouvait toujours à l’arrière de la voiture, ni aucun signe de détresse ou de choc. Une version qui va à l’encontre de celle de l’avocat de la plaignante, qui a notamment parlé d’une  » hématome oculaire causé par un coup de poing « .

Quitter la version mobile