« Je pars une demi-heure plus tôt, je mets Waze et ça me fait faire des itinéraires différents à chaque fois », murmure Karine, une habitante de Plaisir qui se rend à Suresnes tous les jours. Une pratique fatiguante à la longue pour cette employée de santé au travail : « Je dois garder un oeil sur le GPS, faire attention à la circulation, et ce sont des chemins que je ne connais pas. L’autre fois je me suis trompé de voie pour tourner à gauche, je ne sais même plus dans quelle ville j’étais. J’ai eu droit à des klaxons et à un affrontement avec un conducteur… Comme les axes secondaires sont saturés, tout le monde est plus fatigué , plus irritable. »
« Waze ne sait pas quoi faire » : avec la fermeture de l’A13, les automobilistes s’adaptent… et souffrent
