« Nous sommes en présence d’un personnage véritablement légendaire. J’adore la mythologie » a commencé à déclarer celui qui était chargé d’accueillir le 47e président des États-Unis lors du gala de l’America First Policy Institute ce jeudi à Palm Beach, en Floride. Donald Trump capable de monter sur scène tout sourire, il vient d’être encensé par Rocky Balboa lui-même.
Mais Sylvestre Stallone ne s’est pas arrêté là avec les compliments. Après avoir fait des parallèles entre Jésus-Christ, Rocky et Trump, l’acteur de 78 ans est allé plus loin en déclarant : « Lorsque George Washington défendait son pays, il ne savait pas qu’il allait changer le monde. Parce que sans lui, on pourrait imaginer à quoi ressemblerait le monde. Devinez quoi? Nous avons eu le deuxième George Washington. Félicitations ! ». Le nouveau locataire de la Maison Blanche comparé au tout premier président des Etats-Unis ? Il fallait l’oser.
Stallone « admiratif » Trump qu’il compare à « un deuxième George Washington » pic.twitter.com/gtXVJvwluZ
-BFMTV (@BFMTV) 15 novembre 2024
Donald Trump Balboa
« Personne au monde n’aurait pu réaliser ce qu’il a fait. Je suis donc impressionné » a poursuivi la star hollywoodienne connue pour sa saga de boxe, mais aussi pour avoir incarné à plusieurs reprises le vétéran John Rambo et qui était l’image d’une Amérique aux gros bras tournée vers l’action dans les années 80 et 90.
Contrairement à ses nombreux camarades du métier, il n’a jamais caché que la personnalité de Donald Trump l’attirait puisqu’en 2016 il le comparait déjà à un personnage de l’écrivain Charles Dickens. A noter que son rival et ami, Arnold Schwarzenegger, bien que membre du parti républicain, n’est pas le plus grand défenseur du nouveau président.
Le plus amusant dans l’histoire, c’est que, concernant le principal concerné, son affection pour Sylvester Stallone n’a jamais été évidente puisqu’il s’est déclaré jaloux de lui lorsque les deux hommes animaient chacun une émission différente sur l’époque, L’apprenti pour un, Le concurrent pour l’autre. Il faut croire que la politique les a rapprochés…
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