Vitesse incroyable, ratages, « l’étape folle » du Tour de Romandie bouscule les positions et suscite des interrogations
« Je n’ai jamais vu une étape aussi folle sur le Tour de Romandie ! C’est un vétéran de l’épreuve qui le dit, du haut de sa neuvième participation : Sébastien Reichenbach, le Valaisan du Team Tudor, termine ce samedi l’étape reine entre Saillon et Leysin avec le guidon saupoudré de sel et des courbatures pleines de courbatures. Un moindre mal comparé aux coureurs qui tombent dans des brindilles sur la route, desséchées comme après une journée en montagne sur le Tour de France… « La vitesse était très élevée dès le départ et la course s’est lancée dès le premier passage. (à 90 kilomètres de l’arrivée) », explique Reichenbach.
Dans la manœuvre, le Team Ineos-Grenadier a permis à son grimpeur espagnol Carlos Rodriguez de prendre le maillot jaune, renversant son compatriote Juan Ayuso (Team UAE-Emirates), dans une brutale baisse de forme. Une étape vertigineuse de vitesse et de questionnements, offrant le spectacle d’un cyclisme transporté dans le temps.
Intéressé par cet article ?
Pour profiter pleinement de notre contenu, abonnez-vous ! Jusqu’au 30 avril, profitez de près de 15 % de réduction sur l’offre annuelle !
CONSULTER LES OFFRES
Bonnes raisons de s’abonner au Temps :
- Accès illimité à tout le contenu disponible sur le site.
- Accès illimité à tous les contenus disponibles sur l’application mobile
- Plan de partage de 5 articles par mois
- Consultation de la version numérique du journal à partir de 22h la veille
- Accès aux suppléments et à T, le magazine Temps, au format e-paper
- Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés
Déjà abonné ?
Ouvrir une session