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Viols à Mazan : coups, urine, crachats… la perversion à peine imaginable d’un accusé racontée par ses ex

Viols à Mazan : coups, urine, crachats… la perversion à peine imaginable d’un accusé racontée par ses ex

Le procès Mazan a repris ce lundi 4 novembre, après plusieurs
jours de suspension. Dominique Pélicot est accusé d’avoir médicament Et endormi sa femme Gisèle Pélicot pour qu’un
cinquante hommes la violent.

Trois ex de l’un des coaccusés, Cédric G.a témoigné de horreurs sur cet homme. Ses ambitions ? Violer l’un et prostituer l’autre, comme indiqué le Parisien.

Un prévenu avait une double vie

L’accusé de 51 ans est arrivé en 2017 chez les époux Pélicot et est accusé d’avoir
violé Gisèle Pélicot. Ce « manipulateur« avait un double vie au moment de son arrestation : « une femme la semaine et une le week-end. » « Quand il a été arrêté, j’ai dit adieu à l’homme que j’aimais, car il n’existait pas. Il m’a dit menti sur toutsur qui il était, d’où il venait, sur sa famille (…) Nous avons même échangé maladies avec son autre partenaire« . confier Stéphaniese présentant en fauteuil roulant et souffrant de sclérose en plaques.

Elle a partagé la vie de Cédric G pendant 4 ans à partir de 2018. Marionex-partenaire, l’a quitté juste avant, en 2018, après des découvertes troublantes
: «J’ai découvert des choses dont je ne connaissais même pas l’existence.» déclare-t-elle en voyant un échange avec Dominique Pelicot sur le téléphone de son compagnon où il déclare : «Je rêve qu’elle se fasse violer en rentrant du travail.» Ce dernier a aussi peur d’avoir été chimiquement drogué par les deux hommes en parlant de malaise. « J’ai été retrouvé dehors, inconscient, ils ne m’ont même pas ramené par les pompiers. »

Jeux sexuels sordides

le sachant bisexuelStéphanie accepte qu’il continue coco.fr. Elle découvrira alors la présence
une autre femme et des jouets sexuels.
Sophieun autre ex, aura aussi difficulté à suivre des fantasmes sexuels : « Au début, il était tout
gentilc’est après que j’ai commencé à voir que c’était un pervers sexuel. Quand nous nous sommes vus, quand il m’a appelé, quand il m’a écrit, c’était seulement pour ça. C’était beaucoup, beaucoup, beaucoup. »

Elle confiera également que Cédric G la frapper pendant les rapports sexuels et lui a demandé s’il pouvait cracher ou uriner dessus. Il lui confie également son attirance pour les adolescents, « C’est pourquoi je n’ai jamais voulu le présenter à mes enfants. »

Ces derniers refuseront également de porter couettes, mini-jupes, mais elle acceptera de l’appeler « Papa« De nombreuses photos à caractère pédopornographique ont été trouvées sur l’ordinateur de l’accusé. »Il y a des choses qui Je ne pouvais plus accepter. Je n’aurais pas dû le faire, je l’ai fait de force. »

explique-t-elle en disant qu’il voulait devenir son proxénète. Cédric G diffusera également des photos et vidéos de ses ex-petites amies sur Internet.

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