Dans l’After Foot de samedi, Daniel Riolo a chaleureusement salué le niveau de jeu de l’équipe allemande après sa victoire victorieuse en huitièmes de finale contre le Danemark (2-0).
Avec deux buts en seconde période signés Kai Havertz (53e) et Jamal Musiala (68e), face au Danemark (2-0), ce samedi, synonyme de qualification pour les quarts de finale de son Euro, c’est surtout le démarrage canon des hommes de Nagelsmann qui a tapé dans l’oeil du chroniqueur d’After Foot Daniel Riolo.
« J’ai adoré ce qu’elle a proposé dans cette séquence de vingt minutes. J’ai beaucoup aimé », a-t-il d’abord déclaré. Un long premier quart d’heure marqué notamment par un coup d’envoi joué en éclair (comme ils en ont l’habitude désormais) et qui a donné le ton. Moins de dix secondes et Sané était déjà dans la surface de réparation danoise. Un but refusé du défenseur Nico Schlotterbeck, d’une tête rageuse sur corner, trois minutes plus tard, a presque permis aux Allemands de capitaliser sur cette bonne séquence.
Une grosse frappe à distance de Joshua Kimmish (6e) oblige également Schmeichel à se déployer. Une série d’occasions franches dès le début du match qui ont fait de l’Allemagne l’une des équipes les plus joueuses et dangereuses de la compétition pour Daniel Riolo.
Une image positive mais pas « inquiétante »
Ce dernier tente tout de même de tempérer devant certains signes de fébrilité affichés sur d’autres moments du match face à une bonne équipe danoise. Mais au vu du niveau affiché par le reste des prétendants au titre, Daniel Riolo refuse de s’inquiéter pour cette Mannschaft, bien emmenée par Jamal Musiala (meilleur buteur de cet Euro avec 3 buts en 4 matches).
« Peut-être que l’Espagne nous montrera contre la Géorgie qu’elle est encore parfaite. Qu’elle est la seule équipe de cet Euro à avoir une continuité dans le contenu de ses matchs. Mais pour le reste… dans ce tableau, l’Allemagne ne s’en sort pas si mal », a continué Riolo.
Et c’est aussi cette même Espagne que l’Allemagne pourrait affronter en quarts de finale, à condition que la Roja prenne le dessus sur la surprenante Géorgie de Willy Sagnol, ce dimanche (21 heures).
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