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VIDÉO. L’art de choisir avec Clotaire Poirier, finaliste de Top Chef


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Durée de la vidéo : 10 min

Finaliste de Top Chef, Clotaire Poirier aime cueillir à la sauvette les ingrédients qui composeront ses plats. Brut est parti cueillir avec lui.

VIDÉO. L’art de choisir avec Clotaire Poirier, finaliste de Top Chef
Finaliste de Top Chef, Clotaire Poirier aime cueillir à la sauvette les ingrédients qui composeront ses plats. Brut est parti cueillir avec lui.
(Brut.)

Finaliste de Top Chef, Clotaire Poirier aime cueillir à la sauvette les ingrédients qui composeront ses plats. Brut est parti cueillir avec lui.

Clotaire Poirier, finaliste de Top Chef, explique avec passion : « Choisir devient une obsession. Je regarde tout, tout le temps. » Il a littéralement un œil partout pour trouver les trésors que la nature offre. « La seule chose que je transportais dans mon réfrigérateur était ceci : des fourmis des bois. » mentionne-t-il, montrant fièrement son ingrédient signature.

Ces fourmis, riches en acide formique au goût vinaigré, lui ont valu une certaine notoriété lors de l’émission culinaire. « J’en ai ramené quelques-uns du premier événement », explique Clotaire Poirier. Son approche culinaire repose sur l’ouverture d’esprit : « Je pense qu’il est important de ne pas avoir d’idée préconçue sur les produits et de se dire simplement : OK, quel goût ça a et qu’est-ce que je vais en faire ? »

Après Top Chef, Clotaire Poirier s’est lancé dans un véritable voyage à travers l’Europe du Nord pour récolter des ingrédients sauvages. De Bornholm à Paris, en passant par Copenhague, l’Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas, Clotaire Poirier a sillonné les routes pendant 3 jours pour ramener ses précieuses récoltes. Sa camionnette remplie de caisses isothermes renferme des trésors tels que « pommes de pin à différents stades de maturité » ou même « des huiles que j’ai faites avec un cassis ».

Pour Clotaire Poirier, cette quête d’ingrédients sauvages est bien plus qu’une simple passion, c’est une véritable philosophie de vie. « Au fond, tu es un animal, tu te débrouilles, tu vois. Et au final, je pense que c’est comme ça qu’en se reconnectant un petit peu à ce qu’on est, on arrive à s’accomplir », il philosophe. Il a également appris les techniques de cette « La cuisine de la nature » au célèbre restaurant Kadeau au Danemark depuis près de 3 ans. Maintenant, « Cela a complètement intégré ma cuisine, ma façon de penser les plats aussi », dit le chef.

Grb2

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