Basket-ball
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Le jeune Français terminera dimanche sa première saison dans le championnat américain. Pour ses grands débuts, le pivot de 2m22 a impressionné, confirmant largement toutes les attentes qui pesaient sur ses épaules.
Sur le papier, le rendez-vous de ce dimanche 14 avril au soir ne présente pas beaucoup d’intérêt. Quinzième (et dernier) de leur conférence respective – sorte de classement Est-Ouest distinct aux Etats-Unis – Détroit et San Antonio s’affrontent pour leur dernier match de la saison. Pourtant, comme à chaque rencontre depuis le début de cet exercice 2023-2024, les 19 000 places du Frost Bank Center de San Antonio trouveront preneurs et des millions de curieux regarderont le match derrière leur écran de télévision. Comme d’habitude, tout le monde n’aura d’yeux que pour un seul joueur : Victor Wembanyama.
Il y a à peine un an, le géant français (2m22) débarquait au Texas avec des attentes démesurées sur les épaules. Originaire de région parisienne, le joueur de 20 ans incarnait aujourd’hui pour de nombreux observateurs du basket le fantasme du joueur ultime. Une sorte d’OVNI tout droit sorti d’un jeu vidéo, plus gros que tout le monde mais tout aussi mobile, rapide et habile que les plus petits. Les plus sceptiques n’y croyaient pas, persuadés que la longue tige,
