Les juristes de l’association pour L’enfance annonce que vingt parents de la région de Lyon ont saisi le Conseil d’État le 21 février, espérant arrêter la création du programme d’éducation à la vie éducative, relationnelle et sexuelle (EVARS) à l’école.
Parmi les arguments avancés, « leur primauté éducative, le droit à la vie privée de leur enfant, le droit à l’éducation et les informations appropriées, le droit à la santé ». L’association ajoute « la possibilité d’éducation sur ce sujet, mais que l’éducation nationale doit s’en tenir à l’éducation neutre ».
En fait, la loi Aubry du 4 juillet 2001 avait déjà que «l’éducation à la sexualité à l’école est une obligation légale au moins trois sessions annuelles dans les écoles, les collèges et les lycées». Cependant, elle était très peu suivie de faits. En 2023, le ministre de l’Éducation nationale à l’époque, Pap Ndiaye a chargé le Conseil du programme supérieur pour réfléchir à une nouvelle approche. Le sujet a été très débattu pour savoir où mettre le curseur de cette éducation dans la vie émotionnelle, relationnelle et sexuelle.
Comme il a été validé et applicable au début de l’année scolaire 2025, ce dernier est diplômé en fonction des niveaux (jardin d’enfants, élémentaire, collège et lycée).
Allant de la connaissance du corps et des émotions pour les plus jeunes au concept de sexualité chez les jeunes adultes responsables, la transmission des MST et la lutte contre la discrimination pour les plus âgés.
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