Encore au stade de prototypage et fabriqué d’une seule pièce grâce à l’impression 3D, il combine plusieurs couches de matière. Souple, plus léger que les solutions actuelles et moins gourmand en matière, il pourrait remplacer la mousse des sièges ou être utilisé dans les tableaux de bord et les appuis-tête.
Une solution qui reste à industrialiser
« La particularité de cet objet est que l’on peut jouer avec chaque composant », met en avant Éric Brin, le porteur du projet, qui imagine par exemple des sièges sur-mesure adaptés à une forme de corps. Il ne reste plus qu’à industrialiser la solution, alors que la fabrication d’une pièce prend actuellement une semaine. Puis à tester la durabilité de la structure en situation réelle afin de tester son endurance, sa capacité à revenir à sa forme initiale et son vieillissement.
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