une femme tuée par son ex-conjoint et jetée dans la Seine à Louveciennes, une enquête ouverte
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une femme tuée par son ex-conjoint et jetée dans la Seine à Louveciennes, une enquête ouverte

une femme tuée par son ex-conjoint et jetée dans la Seine à Louveciennes, une enquête ouverte

Dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 novembre, une femme a été jetée dans la Seine après avoir été étranglée par son ex-conjoint à Louveciennes, dans les Yvelines, ont indiqué ce dimanche une source policière et le parquet de Versailles. Une enquête a été ouverte.

A Louveciennes, dans les Yvelines, une femme, née en 1970, a été étranglée par son ex-conjoint âgé d’une cinquantaine d’années avant d’être jetée dans la Seine dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 novembre, a appris aujourd’hui l’AFP de source policière et de le parquet de Versailles.

Peu de temps après l’incident, le suspect a appelé son ami pour lui dire qu’il avait fait une « chose stupide » en tuant son ex-compagne. Il a déclaré avoir frappé la victime après une dispute. Il l’aurait ensuite étranglée avant de la jeter dans la Seine.

Cet ami a alors contacté la police. Les policiers se sont rendus à l’adresse où se trouvait le suspect, une barge. Ils l’ont trouvé en état d’ébriété. Selon le parquet de Versailles, le quinquagénaire a déclaré que son épouse « n’est pas tombée à l’eau par accident ».

Toujours selon la même source, l’accusé, déjà connu des services de police et de justice, notamment pour des infractions au code de la route, était le locataire d’une partie de la barge. Son véhicule ainsi que celui de son ex-compagne étaient garés devant l’embarcadère.

Le corps de la victime a ensuite été retrouvé sur la proue du bateau par des équipes de policiers et de pompiers plongeurs. Suite à cette découverte, l’homme a été placé en garde à vue. Parallèlement, une enquête a été ouverte pour « homicide volontaire ». Celle-ci a été confiée à la direction criminelle territoriale des Yvelines.

Quant au corps de la victime, il a été transporté à l’institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine), où une autopsie doit être pratiquée, a ajouté le parquet.

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