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une évolution majeure à venir, pour des panneaux OLED plus performants et économes en énergie

une évolution majeure à venir, pour des panneaux OLED plus performants et économes en énergie

Le processus à l’œuvre est un peu plus complexe que celui de la phosphorescence « classique », il s’agit ici d’un phénomène d’électroluminescence avec des photons émis, soit via des matériaux fluorescents, soit phosphorescents. Il y a donc bien un besoin constant d’énergie.

La différence entre ces deux matériaux, comme l’article tente de le vulgariser (peut-être trop vite), est l’efficacité quantique interne (IQE), autrement dit le rapport entre le nombre de photons générés à l’intérieur du matériau émetteur et le nombre d’excitons créés à partir de l’énergie électrique fournie. Avec un IQE proche de 100% pour le matériau phosphorescent, contre 25% pour le fluorescent, les bénéfices indiqués dans l’article apparaissent. J’espère que c’est un peu plus clair

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