Une boutique pour relancer ce centre commercial quasi vide à Caen : « Une grosse enseigne » intéressée
Par Margaux Rousset
Publié le
20 avril 24 à 18h52
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» Disponible « . C’est ce que l’on peut lire actuellement sur les façades des baraquements vides du centre de Caen. C’est l’agence caennaise Arthur Loyd qui est en charge du marketing pour la location sept cellules vacantes du rez-de-chaussée de ce centre commercial connu jusqu’il y a peu sous le nom de Centre Paul Doumer.
» Pas de soucis «
Selon les cellules, les zones vont de 43,37m2 à 545,50m2. « Les trois cellules situées en bas du rez-de-chaussée peuvent être regroupées pour être encore plus grandes si nécessaire », explique Erwan David d’Arthur Loyd. L’agent n’a pas divulgué le prix de location au m2.
« La configuration intérieure du centre commercial n’a pas vocation à être modifiée à court terme. En revanche, en fonction des attentes et des besoins des futurs locataires, nous avons la possibilité d’adapter les tailles des cellules commerciales disponibles à la location », explique Edouard Lambert, directeur Asset Management chez Paref, gestionnaire du centre.
A la recherche d’une locomotive
Une possibilité qui pourrait attirer une enseigne nationale qui ferait ainsi office de locomotive au rez-de-chaussée. « Il n’y a pas de quoi s’inquiéter », ajoute l’agent qui explique « avoir eu beaucoup de touches », même si rien n’est encore signé.
Une grosse locomotive s’intéresse à deux cases, ce qui entraînerait la signature de deux autres panneaux.
Bricolage ou équipement ménager ?
Qu’entend-on par « locomotives » ? De la marques nationales ce qui contribuera à la fréquentation du centre en plus de ceux déjà présents comme la Fnac et les pharmacies.
« Les propriétaires du centre sont en contact avec la mairie de Caen pour connaître les besoins en centre-ville et ce qui ressort est effectivement Marques de bricolage ou d’équipement pour la maison. »
Quoi qu’il en soit, les propriétaires, les agents et les locataires espèrent des marques qui en attirent d’autres. « Au rez-de-chaussée, il faut quelque chose de complémentaire tant en termes d’activités que de qualité. »