Durant quinze jours, des milliers d’athlètes ont offert au monde un spectacle inoubliable dans un cadre naturel exceptionnel. Paris, son fleuve, ses espaces, ses monuments. Les mots s’envolent, les images restent.
Des épreuves au pied ou à l’ombre des plus beaux monuments parisiens, chargés d’histoire, de joies et de drames annonçant ceux, sportifs, à venir. Les sourires de bonheur de ceux dont les années de préparation, de doute, de sacrifices sont récompensées par une médaille. Les larmes de dépit, de rage, d’orgueil, de fatigue, coulant au fil de la Seine sur les joues des sportifs. Les handballeurs, basketteurs, rugbymen et volleyeurs français revenant de nulle part sur leurs adversaires pour finir par les vaincre dans des salles ou des stades aux allures de volcans en éruption.
Des disciplines méconnues, voire méconnues, soudainement mises en lumière et majestueusement : le tir à l’arc devant les Invalides, le BMX freestyle et le basket 3×3 devant l’obélisque de la Concorde, le taekwondo sous les voûtes du Grand Palais. Des champions de Sainte-Lucie, du Cap-Vert, de Grenade, de la Dominique (à ne pas confondre avec la République Dominicaine) ou du Botswana…
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