Avec 82 921 détenus le 1er avril pour 62 358 places, la densité globale de la prison s’est élevé à 133%.
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Face à un surpeuplement de prison, une mission d’urgence commandée par le ministère de la Justice recommande « Réduction de la pénalité exceptionnelle » général de « tous » DÉTAINES, à des exceptions. Le rapport, consulté le samedi 10 mai par l’AFP, a été commandé par l’ancien ministre de la Justice Didier Migaud en novembre à des professionnels du secteur (magistrats, directeur pénitentiaire, avocat). Il a été renvoyé à son successeur en mars, Gérald Darmanin.
« Le surpeuplement doit maintenant être compris pour ce qu’il représente réellement: un état d’urgence »Écrivez les auteurs, tandis que les chiffres battent de nouveaux enregistrements chaque mois. Avec 82 921 détenus le 1er avril pour 62 358 places, la densité globale de la prison s’est élevé à 133%. Ils proposent que le législateur détermine « En urgence » un « Réduction de la pénalité exceptionnelle » Postuler à tous les détenus condamnés et purgeant une peine de prison en détention, « Sous réserve des exclusions à déterminer par le Parlement ».
Ils recommandent de s’inspirer de la mesure prise contre le Covir pendant le confinement du printemps 2020, ce qui avait permis de revenir pour la première fois en 20 ans en dessous de la barre d’occupation à 100% dans les prisons. « Par souci d’acceptabilité »Il sera notamment nécessaire de réparer un quantum de phrase au-delà duquel le mécanisme ne s’appliquera pas à la durée du Covvide, les condamnés pour la violence domestique, les crimes, le terrorisme ne lui ont pas droit – ainsi que le quantum de la réduction des mois de la phrase à l’époque.
Pour empêcher les effets de s’évanouir, comme cela avait été le cas après la pandémie, ce mécanisme devra être « Reproduit » Dès que le seuil de 100% du taux d’occupation national est dépassé, croient-ils. Un tel mécanisme réglementaire est revendiqué par la majorité des acteurs concernés pendant des années. Demande par l’AFP, la chancellerie a déclaré qu’il y aurait un « Expression publique » À propos du rapport « Dans les prochains jours ».