Un nouvel axe du mal gâche les fêtes d’anniversaire – POLITICO

La première chronique portait sur le Brexit (comme beaucoup d’autres qui ont suivi) et la seconde sur les titres de poste stupides attribués par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à son équipe de commissaires, ce qui est bien et approprié vu qu’elle est sur le point de tout recommencer. Quoi qu’il en soit, nous avons survécu à un mandat entier de la Commission européenne (et comme nous le savons tous, les années de Commission sont comme des années de chien), à la moitié d’une présidence Trump et à environ 28 premiers ministres britanniques (je ne vais pas mentir, Liz Truss avait un score spectaculaire sur le Batshit Crazy Index avant d’imploser) mais pas à Emmanuel Macron, qui continue courageusement à se battre alors qu’il est à peu près aussi populaire auprès des Français que de mettre du beurre supplémentaire sur un croissant.

Bref, assez de nostalgie et passons à la Pluie de Bâtards de cette semaine (un autre titre rejeté pour cette chronique).

Les réseaux sociaux ont suggéré que Ticketmaster et Ryanair fusionneraient pour créer la société la plus maléfique du monde, mais la première n’a pas besoin d’aide pour cela. Après avoir dépouillé des milliers de fans d’Oasis de leur argent durement gagné grâce à son système de « tarification dynamique », la réputation de mauvaise société de vente de billets est de nouveau remise en cause.

« L’objectif est de donner aux fans un accès juste et sûr aux meilleurs billets tout en permettant aux artistes et aux autres personnes impliquées dans l’organisation d’événements en direct de fixer le prix des billets au plus près de leur véritable valeur marchande », a déclaré le site de billetterie.

Traduction : « De l’argent. Donne-moi de l’argent. L’argent m’excite. »

« Nationalisez Ticketmaster », a déclaré la députée travailliste suspendue Zarah Sultana, non sans raison, après que des histoires d’horreur ont fait surface selon lesquelles des personnes ont dépensé des milliers de livres/euros pour se tenir dans un champ et regarder des hommes en parkas pendant deux heures.