Dans le même temps, les services de sécurité russes ont affirmé vendredi avoir déjoué un attentat à la bombe dans le sud-ouest de la Russie.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Une semaine après l’attentat visant une salle de concert dans la banlieue de Moscou, l’enquête se poursuit en Russie. Une neuvième personne accusée d’être impliquée dans l’organisation de l’attentat terroriste qui a fait 144 morts a été détenue, au moins jusqu’au 22 mai, a annoncé vendredi 29 mars le service de presse de la justice de Moscou.
Ce neuvième suspect est originaire du Tadjikistan, une ancienne république soviétique d’Asie centrale, tout comme les quatre agresseurs présumés, déjà arrêtés. Plusieurs suspects accusés de les avoir aidés ont également déjà été arrêtés.
Cette attaque, revendiquée par le groupe jihadiste État islamique, est la plus meurtrière en Russie depuis vingt ans. Les autorités russes continuent de tracer un lien avec l’Ukraine. Les enquêteurs ont assuré vendredi que les agresseurs présumés avaient déclaré qu’après l’attaque, ils devaient se rendre à Kiev. « pour recevoir la récompense qui leur est promise. »
Dans le même temps, les services de sécurité russes ont affirmé vendredi avoir déjoué un attentat à la bombe dans le sud-ouest de la Russie. Trois « ressortissants d’un pays d’Asie centrale » ont été arrêtés.
