Dimanche, une vingtaine de personnes à capuchon sont entrées dans les locaux d’une association culturelle de travailleurs immigrés à Türkiye. Ils ont notamment bloqué un activiste CGT qui témoigne de la France Inter.
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« Lorsque la porte s’est ouverte et que nous avons vu les visages à capuche masqués, nous savions qu’ils étaient venus se battre »Dit à la France Inter Paul, un militant du CGT a attaqué la soirée du dimanche 16 février par des militants de l’extrême radical dans l’association culturelle des travailleurs immigrés de Turquie, qui a accueilli une projection.
La police en a arrêté six dans une station de métro, les autres ont fui. Ils sont en garde à vue et viennent tous de « Le mouvement radical d’extrême droite »Selon une source proche du fichier.
La victime, née en 1994, qui a présenté plusieurs blessures, a pu quitter l’hôpital dimanche à lundi. « Ils m’ont battu »Il explique à la France Inter. Dimanche vers 17 heures, une vingtaine de personnes à capuchon ont forcé la porte du bâtiment où se trouve l’association lors de la projection d’un film anti-fasciste, ZDe Costa-Gavras, explique le jeune collectif Strggle France, qui a organisé l’événement. Certains étaient équipés de bouteilles de bouteilles.
« Nous voyons partout en France, et même en Europe, l’augmentation des mouvements ultra-droits et leur violenceAjoute Ali, membre de l’association, au microphone de France Inter. Ils peuvent organiser des événements chaque année, se promener tranquillement dans les rues de Paris avec des panneaux de néonazi. Nous voyons qu’il n’y a pas de condamnation judiciaire qui peut les dissuader. «
Un rassemblement à l’appel des militants anti-fascistes a commencé à Paris lundi soir à 18 h lundi soir, près de la gare est, non loin de la place de l’attaque.
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