Le drame n’était pas loin puisque ce Vauclusien expliquait qu’il gardait habituellement ces steaks de hamburger surgelés pour son fils de 2 ans.
Une très mauvaise surprise. Sur son compte X (ex-Twitter), un homme a interpellé la marque Picard jeudi, après une mésaventure qui aurait pu tourner au drame. Maxime Peyron raconte dans son message s’être blessé en mangeant un steak de la marque de surgelés. « Après avoir croqué dans mon steak congelé, je sens quelque chose qui craque dans ma bouche »il écrit. «Je me rends compte que je saigne. Lorsque j’ai sorti le morceau de steak, j’ai trouvé un morceau de verre dans mon steak haché congelé.poursuit-il en ajoutant à son post des photos de la viande et du morceau de verre trouvé à l’intérieur.
Interrogé par nos confrères de France Bleu Vaucluse, ce Vauclusien explique avoir trouvé « un deuxième morceau, entier cette fois »de verre, en ouvrant son steak. Et la catastrophe n’était pas loin : cet animateur de radio locale précise qu’il garde habituellement ces steaks de hamburger surgelés pour son fils de 2 ans. « J’ai eu le réflexe de cracher, mais mon fils… Il aurait aussi bien pu avaler le morceau de verre ou pire ! Il ne m’aurait rien dit et aurait continué à manger même s’il y avait cet autre morceau au milieu. »imagine-t-il, paniqué.
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Picard s’excuse
La marque de surgelés a présenté son « excuses pour cet incident »en réponse au message du père sur X. Pour clarifier cette affaire, l’entreprise lui a demandé ses coordonnées complètes ainsi que le numéro de lot du produit en question. A France Bleu, Maxime Peyron a précisé avoir également écrit à la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) du Vaucluse, qui a ouvert une enquête. L’idée étant de comprendre comment du verre a pu se retrouver dans ce steak, et si Picard est responsable de cet incident.
Selon Philippe Bernard, directeur de la DDPP du Vaucluse, interrogé par la radio locale, « Cela ne peut pas arriver quand la viande est pétrie, c’est impossible. » Maxime Peyron a également interpellé l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) sur les réseaux sociaux, qui n’a pas répondu.
