Un homme de Joliet écope d’une peine de 35 ans de prison pour coups, agression sexuelle et incendie criminel – Shaw Local

Timothy Gregory, 43 ans, de Joliet, a été condamné à 35 ans de prison pour le matraquage à coups de marteau et l’agression sexuelle de la petite amie de son frère en 2017 et l’incendie criminel de la maison de son frère, selon un communiqué de presse du bureau du procureur de l’État du comté de Will.
Gregory a plaidé coupable de tentative de meurtre, d’agression sexuelle criminelle aggravée et d’incendie criminel aggravé et a été condamné vendredi par la juge de circuit Amy Bertani-Tomczak. Le juge a prononcé un verdict de culpabilité mais de maladie mentale, ce qui n’affectera pas l’exécution de sa peine finale, indique le communiqué.
Le 25 mars 2017, Gregory s’est rendu à la résidence de son frère, qu’il partageait avec sa petite amie, la victime, sur Infantry Drive à Joliet. Pendant son séjour, Gregory, sans provocation, a matraqué à plusieurs reprises la petite amie de son frère sur la tête avec un marteau, puis a commencé à l’agresser sexuellement dans le salon où elle passait devant nous, a indiqué le bureau du procureur de l’État.
Lorsque la victime a repris connaissance, elle a vu Grégory s’approcher d’elle et a couru dans la salle de bain en verrouillant la porte. Elle s’est à nouveau évanouie et lorsqu’elle a repris connaissance, elle a vu de la fumée sortir de dessous la porte de la salle de bain, a indiqué le bureau du procureur de l’État.
La victime a tenté d’ouvrir la porte de la salle de bain, a vu la maison en flammes et l’accusé debout devant la porte de la salle de bain qui l’attendait, selon le communiqué de presse. Gregory a tenté de l’empêcher de quitter la maison en la poussant dans des cartons alors qu’elle tentait de fuir vers la porte d’entrée, selon le communiqué du procureur de l’État.
Elle a couru dehors où elle a été aidée par un passant qui l’a vue saigner et chanceler dehors près de la résidence, selon le communiqué.
La femme a été envoyée à l’hôpital, où elle a été temporairement plongée dans un coma artificiel pendant six jours et a dû subir de nombreuses interventions chirurgicales en raison de ses blessures, selon le communiqué. La résidence a subi d’importants dégâts.
La peine sera purgée à 85 pour cent. Gergory recevra un crédit de 2 364 jours pour le temps purgé. Il purgera également trois ans de liberté surveillée obligatoire, a indiqué le bureau du procureur de l’État.