Un homme arrêté après une fusillade près du club de golf de Donald Trump, selon la police locale
Plus tôt dans la soirée, l’équipe de campagne de Donald Trump avait assuré que le candidat républicain était sain et sauf après un échange de coups de feu à proximité de son parcours favori. On ignore encore s’il a été pris pour cible.
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Le candidat républicain à l’élection présidentielle américaine est « sain et sauf » après les coups « près de lui »Le patron de la Maison Blanche a immédiatement tenu à rassurer son équipe, dimanche 15 septembre. On ne sait pas encore à quoi a échappé l’ancien locataire de la Maison Blanche, mais la police du comté de Martin a annoncé sur sa page Facebook avoir arrêté un homme soupçonné d’être impliqué dans un échange de coups de feu à proximité du club de golf du milliardaire républicain, en Floride. « Un suspect a été aperçu près du sentier que Trump est connu pour emprunter. Les services secrets ont déclaré que le suspect semblait viser son arme et que les agents ont tiré. Le suspect a pris la fuite, mais a ensuite été capturé et l’arme a été récupérée. », assure un policier à la chaîne abc.
L’ancien président se trouvait dans son club de golf en Floride, selon plusieurs médias, dont CNN. L’incident s’est produit peu avant 14 heures (20 heures, heure de Paris), a indiqué un porte-parole du Secret Service, l’unité chargée de protéger les personnalités politiques américaines de haut rang. Donald Trump a fait le point dans un courriel de collecte de fonds : « Je suis en sécurité et en bonne santé ! (…) Je n’abandonnerai JAMAIS ! Je vous aimerai toujours pour votre soutien. » La rivale présidentielle de Donald Trump, Kamala Harris, a déclaré dans un tweet que « La violence n’a pas sa place en Amérique. »
L’incident survient deux mois après la tentative d’assassinat contre le septuagénaire, qui fait campagne pour reconquérir la Maison Blanche lors des élections de novembre. Le 13 juillet, il avait été blessé à l’oreille par des tirs qui avaient fait un mort et deux blessés lors d’un meeting en Pennsylvanie. Le fiasco sécuritaire avait entraîné la démission du chef des services secrets et la mise en congé obligatoire d’au moins cinq agents de l’unité.
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