« Il m’est arrivé de me réveiller avec des pattes centrales sur mon visage. » Les résidents de Wellington, en Nouvelle-Zélande, sont confrontés à l’invasion de milliers de points centraux Ommatoilulus Moreleti Ces dernières semaines. Les myriapodes, qui se reproduisent à grande vitesse, n’ont pas de prédateur naturel dans le pays. Et quand ils meurent, ces petits animaux dégagent une odeur de putride insupportable, se rapporte Le gardien.
Les invertébrés auraient été importés dans la capitale en bateau ou en avion d’Australie, où ils se sont également développés. Ils seraient également à l’origine d’une collision entre deux trains en 2013 à Clarkson, qui a fait plusieurs blessés.
« Ils sont partout »
La situation dans la banlieue sud de Wellington est devenue très troublante. « C’est comme un film d’horreur. Ils sont partout, ils couvrent tout », explique un résident local. Le lait et les boutons s’accumulent sur les trottoirs et envahissent les espaces. Les résidents ont dû utiliser plusieurs sacs poubelles pour les évacuer.
L’inaction des autorités
La présence de Ommatoilulus Moreleti Dans la ville, n’est pas nouveau, mais leur nombre devient une nuisance pour la population et pourrait également avoir un impact sur le secteur du tourisme. Que pousser les Néo-Zélandais pour faire appel aux autorités. Mais pour David Hipkins, directeur par intérim du groupe environnemental du Conseil régional de Grand Wellington, l’espèce ne représente pas un danger.
« Les villes de lait ne sont pas répertoriées comme nuisibles, nous n’avons donc pas le mandat de surveiller officiellement les populations ou d’entreprendre des efforts de contrôle », a-t-il déclaré. Nureddin Abdurahman, conseiller de l’un des districts de la ville, estime qu’il est nécessaire de saisir le problème. Selon lui, le Central et les Miles doivent être classés comme nocifs et les résidents devraient recevoir un soutien financier pour les aider à les éradiquer.