L’accusation de Montpellier a communiqué cet enfant de 9 ans le lundi 3 février le lundi 3 février. Il a été retrouvé pendu par sa mère, en utilisant une « ceinture de judo ». La piste de suicide n’est pas exclue, mais « aucun élément de contexte ne le permet d’être favorisé ».
Les actions du bureau du procureur du Montpellier, ce lundi 3 février, d’un décès dans des circonstances qui restent à clarifier le lundi 3 février. Le 28 janvier, vers 22 heures, « le corps sans vie d’un enfant de 9 ans a été découvert dans la salle de bain chez ses parents « dans la ville d’Hérault.
« Le corps avait été découvert par la mère, pendu au moyen d’une ceinture de judo », a déclaré les services du procureur dans ce communiqué de presse.
Les interventions « rapides » des voisins et du SAMU n’ont pas sauvé l’enfant, dont la mort a été trouvée à 23 heures, cependant, des questions sont soulevées sur les circonstances de ce drame.
Est-ce un suicide? « L’autopsie effectuée n’a pas démontré une anomalie suggérant l’intervention d’un tiers », se fait passer pour la première observation du procureur.
La thèse du suicide ni licencié ni suffisamment soutenu
Mais la thèse du suicide, présentée « sans retenue » par plusieurs médias, reste à prendre avec des précautions selon les services de la justice.
L’accusation précise ainsi que l’enfant a vécu « dans un environnement parental et éducatif épanouissant », sa situation n’a « jamais fait l’objet d’un rapport aux services sociaux » et aucun harcèlement n’a été « mis en preuve » selon cette même source. Informations collectées grâce aux «enquêtes méticuleuses» du service de police judiciaire du Montpellier local.
En fin de compte, l’hypothèse d’un « acte suicidaire ne peut évidemment pas être exclu », mais les éléments de contexte ne soutiennent pas cette idée. « La mort pourrait tout autant trouver son origine dans un jeu qui a provoqué des conséquences spectaculaires », conclut l’accusation, sans préciser la nature du jeu en question.