Pour cette initiative, ni la date ni le lieu n’ont été choisis par hasard. La date d’abord : « Pour les Palestiniens, le 30 mars est, depuis 1976, une journée de lutte et de résistance contre la colonisation et la dépossession de leurs biens et de leurs terres », explique Sandrine, secrétaire du comité local de l’association. Nous profitons donc de cette journée très particulière pour exiger un cessez-le-feu immédiat et l’ouverture de négociations pour une solution à deux États. »