Divertissement

« un détenu moyen » ? Ce …

Poupette Kenza est toujours en prison depuis juillet dernier. Toutefois, les conditions de détention de l’influenceuse enceinte ne sont pas les mêmes que les autres.

Depuis début juillet 2024, Poupette Kenza est détention provisoire à la maison d’arrêt de Rouen. Le motif ? Elle est accusée de
tentative d’extorsion par bande organisée et association de malfaiteurs. Selon le Parisien,
l’influenceur vit très faux sa nouvelle vie en prison.

Dès sa garde à vue, elle avait fait part de son mal-être comme le rapporte parisien : « Je suis enceinte de cinq mois et les odeurs, Je ne peux pas les supporter. (…) J’ai été reconnu et on m’appelle toute la soirée, Je suis très anxieux.«  a-t-elle affirmé. « Je ne vais pas le prendre. Je n’en peux plus. »

Poupette Kenza est dans une cellule privée

Maintenant enceinte de 8 mois,
Poupette Kenza est dans une cellule spéciale pour femmes enceintes, au « nursery« . Il est composé de deux cellules individuellesconnecté par un ami qui peut vous aider à accéder à l’autre cellule. Cependant, personne n’occupe celui à côté de Poupette Kenza.

Selon le parisienla femme enceinte est seul dans un grand espacequi est également bien entretenu.
« Ils sont les plus faire le ménage détention. » précise Johan Prost, secrétaire local du Syndicat pénitentiaire des surveillants non-gradés. Elle a aussi
une douche, des toilettes, un coin cuisine pendant que les autres détenus se lavent douches collectives et sont parfois trois sur 9 m2.

Poupée Kenza privilégiée ?

La mère de deux enfants a également droit à une
marche en solo par jour. Johan Prost tient toutefois à souligner que ces aménagements sont liés à sa grossesse : « Elle n’a pas pas de traitement de faveur car elle est célèbre. C’est une détenue moyenne.

Et Poupette Kenza ne semble pas les utiliser toutes, comme la promenade : « J’ai peur. Les gens crient mon nom dans la cour. » Les médecins surveillent également sa grossesse, mais la future maman d’un troisième enfant espère sortir sous la surveillance d’un bracelet électronique avant son accouchement :
« Je ne veux pas accoucher en prison ! »

Son objectif ? Ramenez aussi ses deux enfants à son départ, Seyana et Khalis, En France. Actuellement, ils sont à Dubaï avec une personne de confiance. Mais pour l’instant, elle et son mari sont en détention provisoire avant d’attendre le procès.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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